Il s’agit d’une action expérimentale pour créer des modèles d’approches graduelles permettant la participation progressive des organisations agricoles dans le nouveau cadre proposé par EMAS.

En outre, il prétend démontrer au secteur agricole, qu’une gestion environnementale optimale peut être synonyme d’économies de coûts et d’amélioration de la compétitivité sur le marché. De même, il peut renforcer certains aspects de la sécurité alimentaire.

Diffusion

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Pourquoi le projet surgit-il ?

· Le secteur agricole présente un niveau communautaire et, notamment dans les pays du fonds de cohésion, des dimensions réduites qui, dans 99% des cas, seraient –équivalentes à la micro-entreprise.

· D’autre part, la transformation et la régulation constantes du secteur exigent une adaptation permanente sur le marché avec des prix oscillants, qui ne sont pas suffisamment protégés par les prix de garantie établis pour les produits dans certaines O.C.M., dans le cadre de la PAC ou présentant des limitations dérivant des quotas de production, qui provoquent chez les titulaires de petites exploitations agricoles un sentiment d’abandon et de manque de réceptivité aux politiques communautaires et aux approches ayant un caractère volontaire comme l’EMAS.

· Cependant, il s’agit d’un secteur ayant un Impact significatif élevé sur l’Environnement.

· Et un secteur ayant de la difficulté à introduire des éléments innovateurs (pour des raisons de situation, de tradition, etc.)

En outre, il ya a d’autres problématiques à envisager:

· Identification par les petites exploitations de l’idée d’“amélioration environnementale” comme un coût additionnel.

· Cadre normatif ayant des régulations légales en excès, ce qui rend difficile l’acceptation d’approches volontaires d’amélioration environnementale.

· Connaissance par le secteur de la norme internationale ISO, méconnaisance du règlement EMAS.

· Degré d’association insuffisamment exploité très significatif pour introduire des formules innovatrices qui donnent lieu à un emploi spécialisé dans le domaine environnemental.

· Méconnaissance de la figure de l’ “auditeur environnemental“ comme un profil professionnel, ainsi que ses fonctions, comme le recueille le règlement EMAS.